Je connais un parfum,
Avec une odeur de chagrin,
Je l’ai mis quelques fois.
Je sais c’est inévitable,
Un jour ou l’autre tout l’monde se fait la malle.
Sans prévenir, sans guérir.
Qui sur la sphère partira après toi ?
Pour qui coulera le mascara ?
Je n’sais pas, je ne veux pas.
Et je retiens mes larmes,
Jusqu’à c’que la vie me largue,
À nouveau, dans les flots.
Je ferais n’importe quoi,
Pour qu’elle me prenne moi.
À la place dans ses bras.
Qui sur la sphère partira après toi ?
Pour qui coulera le mascara ?
Je n’sais pas, je ne veux pas.
Qui sur la sphère partira après toi ?
Je n’sais pas.