Dans la brume légère des passions qui viennent de l'intérieur
Tu arrives pour t'amuser dans mon potager
Sur ton cheval, la poitrine nue, les cheveux au vent
Et le soleil qui blanchit nos vêtements sur l'étendoir
Dans la brume légère des passions qui viennent de l'intérieur
Tu arrives pour t'amuser dans mon potager
Sur ton cheval, la poitrine nue, les cheveux au vent
Et le soleil qui blanchit nos vêtements sur l'étendoir
Tu viens, tu viens
J'entends déjà le son de tes cloches
Tu viens, tu viens
J'entends déjà le son de tes cloches
La voix de l'ange a murmuré dans mon oreille
Je ne doutais pas, j'entends déjà le son de tes cloches,
Que tu viendrais un dimanche matin
Je t'annonce dans les cloches des cathédrales
Tu viens, tu viens
J'entends déjà le son de tes cloches
Tu viens, tu viens
J'entends déjà le son de tes cloches
Ah! ah! ah! ah! ah! ah!
Ah! ah! ah! ah! ah! ah!
Ah! ah! ah! ah! ah! ah!
Ah! ah! ah! ah! ah! ah!
Dans la brume légère des passions qui viennent de l'intérieur
Tu arrives pour t'amuser dans mon potager
Sur ton cheval, la poitrine nue, les cheveux au vent
Et le soleil qui blanchit nos vêtements sur l'étendoir
Tu viens, tu viens
J'entends déjà le son de tes cloches
Tu viens, tu viens
J'entends déjà le son de tes cloches
La voix de l'ange a murmuré dans mon oreille
Je ne doutais pas, j'entends déjà le son de tes cloches,
Que tu viendrais un dimanche matin
Je t'annonce dans les cloches des cathédrales
Tu viens, tu viens
J'entends déjà le son de tes cloches
Tu viens, tu viens
J'entends déjà le son de tes cloches
Ah! ah! ah! ah! ah! ah!
Ah! ah! ah! ah! ah! ah!
Ah! ah! ah! ah! ah! ah!
Ah! ah! ah! ah! ah! ah!