Tu as trouvé mon point le plus faible
et as dit que ça irait.
Tu as enlacé ma laideur.
Tu étais mon meilleur moment, tu avais une place pour moi de prête.
Salut toi… long vol en piqué.
Jamais je ne m’étais sentie si connectée.
Je pensais que j’avais enfin trouvé une famille en toi.
Toujours prendre de l’élan, se mettre à courir de tout son cœur,
sauter un peu plus haut, toujours prendre de l’élan, jusqu’à ce que ça marche, jusqu’à ce que je l’ai.
Pour toi, j’étais la plus belle femme,
tu tientais de noir, de blanc et de gris
ta vue panoramique pour toutes les petites choses, tes photos, tes films, tes mains, ta voix.
Ta compréhension pour mon chaos, mon affolement.
Oh, j’ai toujours été la reine des drames.
Je pouvais simplement pas vivre sans toi.
Dissimulée par mon humour, j’ai juré que je réussirais.
Mais encore une fois, ça n’a pas marché.
J’ai échoué, j’ai échoué.
Et d’où ça vient, tu le sais bien,
c’était mon noir, mon blanc et mon gris.
Et maintenant, j’ai disparu de ton cœur,
et je pensais que j’avais enfin trouvé une famille.
Toujours prendre de l’élan, se mettre à courir de tout son cœur,
sauter un peu plus haut, toujours prendre de l’élan,
toujours prendre de l’élan, se mettre à courir de tout son cœur,
sauter un peu plus haut, toujours prendre de l’élan.
À un moment, je trouverai bien une main qui convient à la mienne,
un cœur qui rend mon cœur comblé.
Un bon esprit qui veilleras sur moi.
Et tu voleras sur tellement de nuages,
tomberas à nouveau amoureux.
Tu deviendras père sans moi
et je trouverai mon chez-moi.
Car nous prendrons toujours de l’élan, nous mettrons à courir de tout notre cœur,
sauterons toujours un peu plus haut, prendrons toujours de l’élan.
Nous prendrons toujours de l’élan, jusqu’à ce que ça marche, jusqu’à ce que ça marche.