Parmi toutes les fleurs d’amour
à notre aurore épanouies
elle fut parfum inouï
faveur venue comme le jour
Elle donna vie à mes gageures
à mes querelles un sang nouveau
me passa au doigt cet anneau
qui sut panser mes blessures
mes blessures
mes blessures
Mais que de tourments amènent
les serments les toujours les jamais
et que la vérité est vaine
tu ne le sais ni le savais
La ressent encore la brisure
celui qui resta cœur fidèle
ne voyant que qualités d’elle
ne comprenant d’amour que pur
d’amour que pur
d’amour que pur
Etait-il écrit quelque part
qu’un jour s’arrêterait ce jeu
que s’éteindraient un jour les feux
laissant une histoire au hasard
Mais d’autres après moi vont te dire
que brûlent les soleils lointains
que pleurent les vents pour rire
et tremblent les pauvres humains
pauvres humains
pauvres humains