Au passage en revue du supplice à la télévision
Le lancement du fétiche hypnotise la raison
D'un peuple profond un temps détracteur,
D'un culte nauséabond dont il est à présent supporter.
Défile le nouveau pasteur aspergé de puanteur
Dont la simple pensée fait frissonner d'habitude
Mais de se tortiller dans l'odeur de Oh Oh Oh
Certes on ne souffre pas de ne pas cesser d'apparaitre.
À l'appel du fétiche Oh Oh Oh
Qui en aurait perdu la saveur de la réalité
De l'adorée odeur massive de Oh Oh Oh
Nous cédons au rite pas facile à naufrager.
Des vieux garçons de la culture dispensent la nullité
Précieux opportunistes qui dédaignez la vertu
Feuilles de choux intellectuelles, feintes générations,
Entonnent de fétichophages révisions du monde.
Mains tranquilles qui vous méfiez
De votre mauvaise intuition et trompeuse puanteur
Niez votre goût car le culte ne se manque pas
Réunissez vous ensembles et adorez Oh Oh Oh
À l'appel du fétiche Oh Oh Oh
Qui en aurait perdu la saveur de la réalité
De l'adorée odeur massive de Oh Oh Oh
Nous cédons au rite pas facile à naufrager.
Et prétentieux dans son calvaire
Qui couve le triste rite se dépeignant contraire
Il arme le fort fétiche qui ne manque pas la fête
Il a rendu la tête pleine de Oh Oh Oh
À l'appel du fétiche Oh Oh Oh
Qui en aurait perdu la saveur de la réalité
De l'adorée odeur massive de Oh Oh Oh
Nous cédons au rite pas facile à couler.
À l'appel du fétiche nous sacrifions au rite
Qui est né de l'odeur mais nombreux à couler
À l'appel du fétiche Oh Oh Oh
Qui en aurait perdu la saveur de la réalité.