Aïe, oh amour, aïe, aïe
Amour, quel bêtise qu'on se s'explique pas, aïe, aïe
Essaie un peu, hein, tu es envenimé, hein
Et pour le reste de la vie on va souffrir, olará, olerê
Oh, Bahia, aïe, aïe
Bahia qui ne me sort de la pensée, aïe, aïe
Je me lamente, oh; dans le désespoir, oh
De rencontrer dans ce monde l'amour que j'ai perdu
A Bahia, je vais le raconter :
Dans la Baixa do Sapateiro* j'ai rencontré un jour
Le brun le plus élégant de Bahia
Il m'a demandé un baiser, je ne l'ai pas donné
Une embrassade, j'ai souri
Il m'a demandé la main, je n'ai pas voulu lui donner... et j'ai fui
Bahia, terre du bonheur
Brun, je suis folle de regrets
Mon Seigneur de Bonfim
Trouve un autre brun tout pareil pour moi
Dans la Baixa do Sapateiro j'ai rencontré un jour
Le brun le plus élégant de Bahia
Il m'a demandé un baiser, je ne l'ai pas donné
Une embrassade, j'ai souri
Il m'a demandé la main, je n'ai pas voulu lui donner... et j'ai fui
Bahia, terre du bonheur
Brun, je suis folle de regrets
Mon Seigneur de Bonfim*
Trouve un autre brun tout pareil pour moi
Aïe, oh amour, aïe, aïe
Amour, quel bêtise qu'on se s'explique pas, aïe, aïe
Essaie un peu, hein, tu es envenimé, hein
Et pour le reste de la vie on va souffrir, olará, olerê