Nous avons aimé, nous nous sommes aimés, nous nous sommes habitués et nous nous sommes séparés.
Bien que nous aillons penser que l'amour est un jeu
Ce printemps menteur nous a mis en tort.
Mais nous nous sommes arrêtés à la moitié du plus beau chemin.
Allez, viens, allume une allumette.
Que mon cœur brûle dans les flemmes.
Qu'il brûle pour toi.
Que ses cendres reste pour moi.
Où que je regarde,
Soit toujours là.
Que celui qui connaisse mon état sans toi,
l'écrive.