C'est par un matin d'avril
Qu'ils nous dirent que nous devions partir
Et lorsque je me suis retourné vers toi,
Tu m'as souris
Comment aurions-nous pu refuser?
Tous les fonds qu'ils possèdent
Ont livré les rêves que nous avions toujours eu
Oh, et les chansons à chanter
Lorsque nous reviendrions enfin
Il m'a balayé, son regard
Pour ceux qui prétendent connaître
Les rues désertes, avoir vu passer les années
Le diable est dans son trou
Oh, prendre le large
Vers des contrées sablonneuses, et des jours nouveaux
Oh, avoir confiance en ce rêve
Les yeux à l'intérieur n'ont jamais vu, ouais
En direction du soleil, du sud, du nord
Se trouve la marmite d'or
Les chaînes d'engagement retrouvées,
Les pièces éparpillées au sol
Oh, chevaucher le vent,
Marcher sur l'air, par-delà le chahut
Oh, rire bien fort
Et danser ce soir, à travers les foules, ouais
Chercher l'homme qui pointe de ses mains,
La sémaphore géante,
Afin de nous guider loins des nuages recourbés
Qui transforment en pierre nos pieds
Si jamais une cloche devait sonner,
Une célébration pour un roi,
Il suffirait qu'aucun cœur ne batte
Attrapons les mains et les pieds lourds, ouais
Oh, ouais
Certains jours nous trouvons que toi et moi,
Nous formions une éternelle lueur estivale
Aussi lointaine et aussi distante,
Et tu es trop fatiguée pour partir
Oh, le doux refrain
Réconforte l'âme
Et soulage la douleur
Et j'espère qu'il continuera
À dormir maintenant, afin de s'élever à nouveau
Il erre, il erre,
À la recherche d'un endroit où reposer son corps
Les puissants bras d'Achille
Retiennent les cieux loin de la Terre
Car les puissant bras d'Achille
Retiennent les cieux loin de la Terre,
De la Terre
Oh, oh, oh, oh
Je vais pleuvoir, pleuvoir, pleuvoir, tout souffler au loin
Je vais pleuvoir, pleuvoir, pleuvoir, tout souffler au loin
Oh, oh, oh
Ah, ah, ah
Ah, ah, ah, ah, ah
Oh, oh, oh, oh, oh
Oh, les puissants bras d'Achille
Retiennent les cieux loin de la Terre
Ah, ah, ah