Je ne peux pas dormir, je ne sais pas pourquoi
J’ai ces pensées inutiles que j’essaie d’oublier.
Triste j’étais, triste je suis, et je ne sais pas pourquoi.
Il arrive que l’âme se fonde
Dans cette immense pénombre
Où la nuit se meurt, il me semble,
Où la nuit se meurt, il me semble.
Ma nuit brille d’un éclat, d’un signal plébéien
Je suis née sans malice et toi, tu me négliges
L’amour ne se refuse pas ni celui qui le refuse.
Il arrive que l’âme se fonde
Dans cette immense pénombre
Où la nuit se meurt, il me semble,
Où la nuit se meurt, il me semble.
C’est une nuit blanche, à me soucier de moi
De la fleur de mon âme, de ma fin prochaine
De celui qui m’a prise, de celui qui m’aime.
Et qui n’a pas pris soin de moi
Il arrive que l’âme se fonde
Dans cette immense pénombre
Où la nuit se meurt, il me semble,
Où la nuit se meurt, il me semble.