Rue Corrientes, trois, quatre, huit,
Deuxième étage, ascenseur...
Il n'y a pas de portier, ni de voisins,
Mais à l'intérieur un cocktail d'amour.
Un petit appartement mis par Maple,
Un piano, un tapis, un guéridon
Un téléphone avec répondeur,
Un gramophone qui pleure,
Des vieux tangos de ma jeunesse
Et un chat, mais en porcelaine
Pour quil ne miaule pas à l'amour.
Et tout cela à la pénombre,
Dans la pénombre nous deux,
Avec nos baisers dans la pénombre,
Dans la pénombre nous deux,
Et tout cela à la pénombre,
Qu'il est ensorceleur l'amour,
Avec nos baisers dans la pénombre,
Dans la pénombre nous deux...
En courant, trois, quatre, huit,
Deuxième étage, ascenseur...
Il n'y a pas de portier, ni de voisins,
Mais à l'intérieur un cocktail d'amour.
Un petit appartement mis par Maple,
Un piano, un tapis, un guéridon
Un téléphone avec répondeur,
Un tourne disque qui pleure,
Des vieux tangos de ma jeunesse
Et un chat, mais en porcelaine
Pour quil ne miaule pas à l'amour.
Et tout cela à la pénombre,
Dans la pénombre nous deux,
Avec nos baisers dans la pénombre,
Dans la pénombre nous deux,
Et tout cela à la pénombre,
Qu'il est ensorceleur l'amour,
Avec nos baisers dans la pénombre,
Dans la pénombre nous deux...