Viens ce jour, ma peau ne sait plus attendre.
Viens cours, des papillons au creux du ventre.
Viens me porter secours, je brûle de nous imaginer.
Le vent et les chansons d’amour en sucre
me font toujours autant d’effet.
J’ai peur de nous, j’ai pas envie de résister.
J’ai peur de nous, la raison n’est pas notre alliée.
Tour à tour, on se tourne autour, sans jamais avoir basculé.
Les jeux interdits, ton humour abstrait
me font toujours autant d’effet.
Parararpapara parararpapara
Parararpapara parararpapara
Parararpapara parararpapara
Viens ce jour, ma peau ne sait plus attendre.
Viens cours, des papillons au creux du ventre.
Viens me porter secours, je brûle de nous imaginer.
Le vent et les chansons d’amour en sucre
me font toujours autant d’effet.
J’ai peur de nous, j’ai pas envie de résister.
J’ai peur de nous, la raison n’est pas notre alliée.
Tour à tour, on se tourne autour, sans jamais avoir basculé.
Les jeux interdits, ton humour abstrait
me font toujours autant d’effet.
Parararpapara parararpapara
Parararpapara parararpapara
Parararpapara parararpapara
Tu le sais, une évidence de tous les diables.
Je le sais, succomber est inévitable,
car dans ce paradis, s’offrir à bouche que veux-tu.
L’extase, un incendie qui nous tue.
C’est merveilleux, tu es foutu.
Parararpapara parararpapara
Parararpapara parararpapara
Parararpapara parararpapara
Allez, viens.
Allez, viens. (×3)
Le jour se lève, la fièvre prend fin,
m’aimeras-tu demain ?
Et mes lèvres posées sur tes mains,
m’aimeras-tu demain ?