Je marche le long des rues
où tu marchais avec moi,
et chaque pas que je fais me rappelle
à quel point nous étions amoureux.
Oh, comment puis-je t’oublier…
Quand il y a toujours quelque chose pour me rappeler ?
Toujours quelque chose pour me rappeler !
Je suis née pour t’aimer
et je ne serai jamais libre ;
tu feras toujours partie de moi.
Quand le soir1 tombe,
je passe devant le petit café
où nous dansions la nuit,
et je ne peux pas m’empêcher
de me rappeler comment c’était
de t’embrasser et de te serrer contre moi !
Oh, comment puis-je t’oublier…
Quand il y a toujours quelque chose pour me rappeler ?
Toujours quelque chose pour me rappeler !
Je suis née pour t’aimer
et je ne serai jamais libre ;
tu feras toujours partie de moi.
Si jamais tu sentais
que le doux et tendre amour que
nous partagions te manquait,
reviens juste dans les endroits
où nous allions
et je serai là !
Oh, comment puis-je t’oublier…
Quand il y a toujours quelque chose pour me rappeler ?
Toujours quelque chose pour me rappeler !
Je suis née pour t’aimer
et je ne serai jamais libre.
Quand il y a, quand il y a,
quand il y a toujours quelque chose pour me rappeler !
Toujours quelque chose pour me rappeler !
Toujours quelque chose pour me rappeler !
1. Littéralement : « les ombres tombent »