C'est plus difficile de le vivre que d'en parler
Les mots doux n'ont plus leur place maintenant que l'heure est venue
Il n'y a pas de sourire, seulement de la colère
un moment de passage de longue durée qui reste coincé dans la tête.
Quand l'amour nous quitte, la plaie ne guérit jamais,
Un nouvel amour peut apparaître, je ne cesserai pas de chercher ce qu'il y avait avant,
Mais rien n'est plus beau.
Quand je suis réveillé, ton absence me torture
des fois je te crie après avec des mots silencieux.
S'il y aura un coeur qui battra pour toi,
je t'en supplie, aime-le plus que toi-même.
Mes yeux s'ouvrent dans la nuit, mais ils ne te voient plus,
ton corps nu maintenant est ailleurs et appartient à quelqu'un d'autre.
Tes lèvres sont disparues, tes cheveux, ton aura est caché par tes vêtements,
ta mère ne te reconnait même plus dans la rue.
Tout ce qui signifiait la liberté est devenu maintenant une barrière,
plus je veux t'oublier, plus je pense à toi.
Tu me manques, comme veuf en deuil.
Parfois même les choses incassables se cassent si on ne fait pas attention.
Le jour où on renaît, peut-être la flamme renaîtra aussi,
nos coeurs n'oublient jamais nos jours heureux.
Tous les mouvements font mal, mieux vaut se taire,
la mélancolie d'un rendez-vous oublié s'en va.
Un souvenir que je n'oserais pas toucher,
C'est fini maintenant, vaudrait mieux poursuivre chacun son chemin.
Tous les mouvements font mal, mieux vaut se taire,
la mélancolie d'un rendez-vous oublié s'en va.
Un souvenir que je n'oserais plus toucher,
C'est fini maintenant, vaudrait mieux poursuivre chacun son chemin.
Je poursuivrais mon chemin, je le poursuivrais avec toi,
Le souvenir brisé n'est qu'un fragment
Il reste quand même un peu de chaleur après.
Comme le ciel bleu se blase dans l'hiver brumeux,
je vis mon chagrin de la même manière, s'absorber dans l'étreint.
Dis ma chère, comment vas-tu? La vie c'est de la merde,
Sur le chemin qu'on a jamais choisi tu m'as abandonné aussi,
Alors que je croyais que tu me protégerais toujours quand j'ai mal,
car tu te faisais du souci pour moi, même aux temps orageux,
on se protégeait pour le même intérêt.
Des milliers de raisons qui me lient à toi, chaque minute vaut une année.
Tu m'as emmené à un endroit où je voulais toujours aller secrètement.
Tu as mis des couleurs dans ce monde tellement gris.
Où non seulement je te connais, mais je sens également tes vibrations, tes impulsions,
Si tu es vraiment heureuse ou si tu fais seulement semblant
De ne pas être blessée petite fillette,
Moi j'étais heureux et je te voyais heureuse.
Mais à présent dans ce lit froid la solitude a pris ta place,
J'y imagine ton odeur de temps en temps quand le passé est trop douloureux,
Ce qui ne changera pas de toute façon.
Que ça soit l'histoire du destin ou l'itinéraire de la vie.
Si je te vois avec un autre, je ne me retourne plus
Alors que je cache des larmes qui brûlent au fond de mon âme,
Car pour moi tu resteras toujours le rêve au visage d'une fillette
Dont j'admire l'éclat de sa façon de marcher.
Même si j'essayais, je ne pourrais pas t'oublier,
Tout ce qu'on avait continue à vivre en moi, mon coeur ne les lâchera pas de toute façon.
Car il t'a aimé d'une façon dont il t'aimera toujours,
Il garde ce moment où
un c'était les deux, les deux pour un
Les yeux dans lesquels l'éternité était le regard et que tu comprenais,
Mais comme moi, tu m'as également lâché.
Tous les mouvements font mal, mieux vaut se taire,
la mélancolie d'un rendez-vous oublié s'en va.
Un souvenir que je n'oserais pas toucher,
C'est fini maintenant, vaudrait mieux poursuivre chacun son chemin.
Tous les mouvements font mal, mieux vaut se taire,
la mélancolie d'un rendez-vous oublié s'en va.
Un souvenir que je n'oserais pas toucher,
C'est fini maintenant, vaudrait mieux poursuivre chacun son chemin.
Je poursuivrais mon chemin, je le poursuivrais avec toi,
Le souvenir brisé n'est qu'un fragment
Il reste quand même un peu de chaleur après.
Comme le ciel bleu se blase dans l'hiver brumeux,
je vis mon chagrin de la même manière, s'absorber dans l'étreint.