Je t'ai presque frôlé.
Je suis arrivé deux minutes en retard, qu'il est capricieux
Ce temps temps humide qui se délecte dans tes yeux.
Moi, je retourne avec ce risque que ça m'accroche d'avantage.
Pour quelle raison t'ai-je presque touché
Et ai-je pris la liberté de faire des plans, seulement à mon goût
En arrivant derrière ton dos, en déchargeant tes épaules,
Puis de souffler très fort pour que tu puisses voler?
Je ferme les yeux, en t'imaginant dans mon corps.
Tu sais rester en moi et je m'échappe avec toi.
Tu m'emmènes loin, jusqu'à ce que je perde la tête
Et puis, une fois de plus, tu jettes mon discours par terre,
Tu me dis ce que tu penses, tu me dis ce que tu penses.
J'ai envie de rien.
Pourquoi ai-je rempli le carnet de gribouillages, en faisant le fou
Et ai-je gagné le doctorat en faisant ta connaissance? je l'ai noté
Tu ne me gagne pas même si tu vas me dépasser.
Pourquoi t'ai-je presque touché et ça nous a plu
Et si quelqu'un parle, nous faisons les sourds.
Car tu sais bien qu'en tirant mon chemisier
ça me plait que tu t'approches de moi sans but précis.
Je ferme les yeux, en t'imaginant dans mon corps.
Tu sais rester en moi et je m'échappe avec toi.
Tu m'emmènes loin, jusqu'à ce que je perde la tête
Et puis, une fois de plus, tu jettes mon discours par terre.
Je ferme les yeux, en t'imaginant dans mon corps.
Tu sais rester en moi et je m'échappe avec toi.
Tu m'emmènes loin, jusqu'à ce que je perde la tête
Et puis, une fois de plus, tu jettes mon discours par terre,
Tu me dis ce que tu penses,
Tu me dis ce que tu penses.