Les terres blanches s’assombrissent ;
les arbres chantant se taisent.
Les enfants des rues se cachent
quand la tempête se lève.
Faisons fuir nos peurs ;
rien ne pourra m’emmener
quand l’amour se serre bien fort
et que le cœur se réchauffe.
Même si une centaine d’éclairs font feu
et que toute la vie explose,
l’amour ne peut pas m’être enlever,
il reste l’espoir !
Quand une centaine de soleils brillent pour nous
et que le navire est prêt à s’élever.
Je mènerai cet amour en lieu sûr
et nous trouverons un nouveau pays.
À tes côtés, je sens la tendresse,
le rêve d’une terre épuisée.
Le dernier rêve, par le vent de la nuit,
nous donne un abri.
Je vois la vérité dans ton espoir,
tu crées une flamme en respirant.
Seul l’amour nous mènera là-bas,
il nous sauvera !
Même si une centaine d’éclairs font feu
et que toute la vie explose,
l’amour ne peut pas m’être enlever,
il reste l’espoir !
Quand une centaine de soleils brillent pour nous
et que le navire est prêt à s’élever.
Je mènerai cet amour en lieu sûr
et nous trouverons un nouveau pays.
Il y a un millier de mondes là-bas
et un d’entre eux est à nous !
Même si une centaine d’éclairs font feu
et que toute la vie explose !
Je mènerai cet amour en lieu sûr
et nous trouverons un nouveau pays.
Je mènerai cet amour en lieu sûr,
vers une terre blanche !