(refrain : )
Ma dame d'Arbanville,
quel est ce sommeil de plomb ?
Je t'éveillerai demain
et tu me combleras,
et tu me combleras.
Ma dame d'Arbanville,
pourquoi suis-je si affligé ?
Mais ton coeur semble si silencieux.
Pourquoi ce souffle si bas ?
Pourquoi ce souffle si bas ?
(refrain)
Ma dame d'Arbanville,
tu sembles si froide ce soir.
Tes lèvers ont un goût d'hiver,
ta peau est devenue de neige,
ta peau est devenue de neige.
(refrain)
La la la la la...
(reprise du second couplet)
Je t'aimais, ma dame,
bien que tu reposes dans ta tombe,
je serais toujours à tes côtés.
Cette rose ne mourra jamais,
Cette rose ne mourra jamais.
(reprise du dernier couplet)