Si tu m’appelles un jour
Pour que je te caresse ton visage ravagé,
Si tu me demandes de rester,
Je te rendrai heureux.
Je voudrais être,
depuis que je sache,
Le vent qui vient après la pluie,
Pour te caresser les épaules dénudées
Et pour me disputer avec la nuit,
Pour qu’elle me laisse te voir ;
Où que tu sois,
Appelle-moi, et je viendrai !
Si tu m’appelles un jour
Pour que je te caresse ton visage ravagé,
Si tu me demandes de rester,
Je te rendrai heureux.
(bis)
Je voudrais que tu viennes
Un beau jour
Et je ne te laisserai plus
Partir nulle part.
Je t’aiderai à te souvenir
Que tu m’aimes encore ;
Où que tu sois,
Appelle-moi, et je viendrai !
Si tu m’appelles un jour
Pour que je te caresse ton visage ravagé,
Si tu me demandes de rester,
Je te rendrai heureux.
(bis)
Les matins t’appellent pour moi, (pour que tu viennes) dans mon univers,
Je t’aiderai à te souvenir, un jour,
Combien j’aime lorsque tu me souris dans la pluie ;
Si tu me demandes de rester, je te rendrai heureux.
Si tu m’appelles un jour
Pour que je te caresse ton visage ravagé,
Si tu me demandes de rester,
Je te rendrai heureux.
Si tu m’appelles un jour
Je te rendrai heureux.