Pourquoi ce déroulement ?
Mes déchirures d’avant ?
A, a, a, ah, ah
L'effacement du havre d’espérance,
Explique-moi donc notre aboutissement
De malchance, d'imprudence, de nonsens,
L’absence dans cette chambre qui me réprimande.
Pourquoi ce déroulement ?
Mes solitudes d’avant ?
A, a, a, ah, ah
À croire que les affaires de cœur m’excèdent.
Que de scènes, que de scènes, que de scènes, ta présence entière
Et ma résistance en clair, dans tes gants de soie ou de fer.
Que de mimes, que de mimes, à ranimer notre amourette.
Arrête, j’ai mon cœur et ma tête.
Épargne-moi ce destin tout bête.
La vérité me désole.
Qui est-ce qui me console ?
Ça y est, c'est fini. Ça y est, c'est fini.
La vérité me désole.
Qui est-ce qui me console ?
Ça y est, c'est fini. Ça y est, c'est fini.
Y a que tous les regrets qui subsistent au bout de chaque semaine.
A, a, a, ah, ah
Nos châteaux en Espagne qui sournoisement nous enchainent,
Moi qui ne récolte pas ce que je sème,
Mon aspiration sincère, finalement vaine,
Toi que j’ai peut-être absorbé à sec,
Les réverbérations anciennes sans trêve qui m'obsèdent.
A, a, a, ah, ah
Une recette pour écraser ta voix dans ma cervelle ?
Que de scènes, que de scènes, que de scènes, ta présence entière
Et ma résistance en clair, dans tes gants de soie ou de fer.
Que de mimes, que de mimes, à ranimer notre amourette.
Arrête, j’ai mon cœur et ma tête. Épargne-moi ce destin tout bête.
La vérité me désole.
Qui est-ce qui me console ?
Ça y est, c'est fini. Ça y est, c'est fini.
La vérité me désole.
Qui est-ce qui me console ?
Ça y est, c'est fini. Ça y est, c'est fini.
Où tu te trouves ?
Les délires me prennent partout,
Ce brouillard environnant
Cette allée à suivre en courant.
Maintenant on est où ?
Que de scènes, que de scènes, que de scènes, ta présence entière
Et ma résistance en clair, dans tes gants de soie ou de fer.
Que de mimes, que de mimes, à ranimer notre amourette.
Arrête, j’ai mon cœur et ma tête. Épargne-moi ce destin tout bête.
La vérité me désole.
Qui est-ce qui me console ?
Ça y est, c'est fini. Ça y est, c'est fini.
La vérité me désole.
Qui est-ce qui me console ?
Ça y est, c'est fini. Ça y est, c'est fini.