Si tu n'existais pas, je t’inventerais
Des reflets du soleil sur les pétals d’une rose
Des pins pignons sveltes et des acacias
Que le vent a effleurés comme Michel-Ange.
Comme Michel-Ange, je te peindrais
Dans la chapelle Sixtine, dans la chapelle Sixtine
Je t’inventerais d’un effleurement du vent
Si tu n'existais pas... Si tu n'existais pas...
Lève-moi jusqu'au ciel, lève-moi jusqu'à la vision sereine
Afin que le temps se perde là-bas, tel le pic du mont
[Quand je suis] avec toi, le temps se perd, il n’y a que l’illusion
Le vent, que tu as enchanté comme Michel-Ange.
Comme Michel-Ange, je te peindrais
Dans la chapelle Sixtine, dans la chapelle Sixtine
Je t’inventerais d’un effleurement du vent
Si tu n'existais pas... Si tu n'existais pas...