Tu ne m'aimes pas car tu sais que je suis pauvre,
il ne te dérange pas que je perde la raison,
il t'intéresse seulement que le cuivre
soit le métal qui te loue le cœur.
Quand ta vie au crépuscule arrivera
et tu te trouves partout méprisée,
ton échec en silence tu subiras,
une douleur dans l'âme tu porteras.
L'amour du cuivre, toi-même l'as voulu,
tout dans la vie possède sa valeur,
mais des baisers et caresses tu as vendu
à un pauvre errant qui t'acheta l'amour.
(Musique)
(Répéter depuis le début)