De mes yeux coulent des larmes d'amertume,
Des larmes aussi amères que la bile
Tandis que je ne vois plus désormais que des restes
De ce qu'était hier notre idylle,
De ce qu'était hier notre idylle.
Dis-moi si tu es heureuse comme je te le souhaite,
Si d'autres lèvres t'embrassent passionnément,
Si dans cette obsession maladive de qu'est ta perte
Ha—, si tu ne penses même plus à moi dans tes rêves ?
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Ton oubli ne m'a laissé que des larmes de tristesse,
Et des ombres qui noircissent un peu plus ma solitude.
Tu étais comme un petit oisillon qui s'agitait sans arrêt pour quitter son nid
Et parcourir l'immensité du ciel
Et parcourir l'immensité du ciel
Dis-moi si au hasard de tes jours
Tu rentres chez toi, à la recherche d'un quelconque amour
Ou si tu as baissé les bras et que tu erres sans aucun but,
Ha—, ou si avec tes ailes épuisées tu veux revenir,
Si avec tes ailes épuisées… tu veux revenir.