[Manuel García :]
Maintenant, il semble que je
Je dois regarder vers la mer.
J'ai découvert la nuit
Et son reflet entre les bateaux.
[Mon Laferte :]
Demain, tu trouveras une fleur que je t'ai laissée.
Contre ta poitrine, tu embrasseras son doux feu.
[Manuel García :]
Et dans une danse subtile,
[Mon Laferte :]
Les libellules du jardin
[Les deux :]
Traverseront le ciel de tes sentiments.
[Les deux :]
C'est à dire, la beauté que je veux oublier.
Elle m'appelle, elle vient me chercher.
Cela me fait rêver.
C'est à dire, qu'avec la violence de la mer
J'aimerais embrasser à nouveau jusqu'à ce que je saigne.
[Mon Laferte :]
Et même si cela fait des années que
Je vis si loin de la mer,
Je retourne toujours au village
Où j'ai imaginé, il y a longtemps
[Manuel García :]
Ma demoiselle et sa fleur
Avec son parasol, et mon amour,
[Les deux :]
Demoiselle du jardin des camélias,
[Les deux :]
C'est-à-dire la beauté que je veux oublier.
Elle m'appelle, elle vient me chercher,
Elle me fait rêver.
C'est à dire, qu'avec la violence de la mer
Je voudrais embrasser à nouveau jusqu'à ce que je saigne.