Toujours seule, toujours le cœur à l’envers
Toujours seule, je fais du feu aux ténèbres
Je te quitte en ne voyant
Pas ton âme et en n’ayant
Pas de réponse à toutes les
Interrogations données
Toujours seule
Je vais, je vais, je vais et j’appelle
Je vais, je vais, je vais et j’appelle
Je vais, je vais, je vais et j’appelle
Je vais et je t’appelle
On rit et on boit jusqu’à ce
Qu’un chaos se manifeste
Qu’un nouveau jour se lève aussi
Froidement que la glace
On s’en fiche assez largement
Et moi, je m’en fiche autant
Je suis juste un peu plus habituée
Toujours sans réponse, je reste
Toujours seule, toujours le cœur à l’envers
Toujours seule, je fais du feu aux ténèbres
Je vais, je vais, je vais et j’appelle
Je vais, je vais, je vais et j’appelle
Je vais, je vais, je vais et j’appelle
Je vais et je t’appelle
Je pense peut-être trop alors
Que je devrais me consacrer
À la vie, peut-être je suis née
Avec une âme toute cassée
Pour être cognée par tes mots froids
Et cet étrange silence
Qui s’accole à nos phrases tel un noir
Espace en apparence
Et je reste bien avec toi sans
Voir ton âme et aussi sans
Avoir de réponse à toutes les
Interrogations données
Toujours seule, toujours le cœur à l’envers
Toujours seule, je fais du feu aux ténèbres